Centraide Estrie

Centraide Estrie

Campagne annuelle

La campagne annuelle de Centraide Estrie se déroule principalement de la mi-septembre à la mi-décembre. Elle vise à recueillir des fonds pour soutenir une centaine d’organismes, concertations et programmes de l’Estrie. Ils luttent contre la pauvreté et l’exclusion sociale et offrent des services essentiels aux personnes vulnérables de notre communauté. Les organismes soutenus œuvrent dans 4 champs d’action : soutenir la réussite des jeunes, assurer l’essentiel, briser l’isolement social et bâtir des milieux de vie rassembleurs.

Vous voulez connaître les différentes façons de donner? C’est par ici!

Témoignages

« Les infirmières de l’hôpital ainsi que celles du CLSC me parlaient de Marraine Tendresse de L’Estrie. Ma famille vivant à l’extérieur, j’ai passé un coup de fil et quelques jours plus tard, j’avais une marraine qui sonnait à ma porte. Pendant que ma marraine était là, j’en profitais pour dormir car les nuits étaient parfois courtes. J’étais en pleine confiance et je m’endormais parfois en mettant la tête sur l’oreiller. Merci du fond du cœur à l’organisme Marraine tendresse qui a mis sur ma route ma marraine pour partager tout le bonheur d’être une mère. »

A., Mère de trois enfants

« Lorsque j’ai demandé de l’aide au CALACS (Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel de l’Estrie), mon objectif était de terminer ma démarche personnelle ; de « guérir de l’inceste ». Aujourd’hui, j’ai non seulement atteint cet objectif, mais j’ai reçu beaucoup plus de l’organisme. »

L. M. de Sherbrooke

« Ça fait un an et demi que je viens aux cuisines collectives « Bouchée double Memphrémagog ». Tout le monde s’implique et la cuisson nous coûte environ 3 $ par bouche à nourrir (pour une soupe, deux à trois plats principaux et deux desserts). Je vais aux cuisines collectives pour apprendre de nouvelles techniques, pour cuisiner plus rapidement, mais surtout pour faire de nouvelles recettes que je peux refaire chez moi. Cela me permet également de cuisiner sans ma fille de 19 mois qui hurle «maman» puisqu’elle est à la halte-répit pendant ce temps. »

La famille P., S. et A. xxx

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